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C'est l'une de ces petites perles pop des années soixante un peu oubliées aujourd'hui, mais qui se retrouvent un jour ou l'autre dans votre discothèque : deux belles voix, des compositions ensoleillées imparables, pas une trace d'inquiétudes politiques...

Il y a actuellement tout un tas d'artistes qui remettent à l'honneur une version très pop de la guitare rock - voix féminines énervées, comptines agaçantes, le total n'est pas toujours bon mais il y a des perles, comme aujourd'hui VV Brown. Cet album...

Le maxi est un disque bizarre : collection de titres pour groupes n'ayant pas encore la stature de l'album à la grande époque des balbutiements du rock, devenu collection de faces B insipides et sans utilité (voire racket du fan, contraint d'acheter plusieurs...

Jacob Do Bandolim, ou le spectacle de la virtuosité : l'étonnant joueur de mandoline construit ses morceaux comme autant d'échafaudages de difficultés, pour mieux s'en jouer. Il y a une volonté infernale de constructions mathématiques s'envolant jusqu'au...

À quoi tient le talent d'un compositeur ? Ou l'amour qu'on porte instinctivement à une ambiance, à un pays ? Dans les deux cas, pas toujours à grand-chose, surtout pas à du dicible. Il y a dans les années 60 une espèce de triangle bizarre entre Manos...

Une jolie sélection de bruitages électroniques, Tangerine Dream à son plus abstrait, voire abscons. Parfois on n'arrive pas à "rentrer" dans un album. Dans ce cas, je n'ai pas l'impression que ce soit un signe extérieur de qualité.

Il faudra un jour fonder le comité de soutien aux groupes injustement relégués à quelques hits peu représentatifs, enfermés, en l'occurrence, dans un filet de clichés sur les 80's. À ce tarif-là, on commencera par s'occuper du cas Eurythmics, prenez par...

À la question "pourquoi certains albums sont-ils dans mon walkman ?" la réponse est : parce qu'il y a un titre fabuleux dessus. Un seul, en l'occurrence. J'ai toujours été rigoureusement incapable d'écouter le reste de cet album, invariablement tous mes...

Évidemment, quand le vénérable Deutsche Grammofon s'ouvre au contemporain, on soupçonne la manoeuvre bassement commerciale, et ce n'est pas l'effort avec Sting qui va nous convaincre de la réussite de l'opération, mais cet opus où Jimi Tenor laisse de...

N'en déplaise à Dominique A et ses regrettées chroniques dans le mensuel du TGV, les Triffids ne sont peut-être pas une si grosse perte : sortis de leurs années de gloire, leurs titres élégiaco-irlandais ont tellement mal vieilli qu'on en a mal pour eux....